mardi 17 avril 2007

FESTIVAL DU CINEMA BRESILIEN


9ème Festival du Cinéma Brésilien de Paris

Pour rester encore un peu dans l'ambiance brésilienne, voici l'événement incontournable pour tous les amoureux du 7ème art et du Brésil :
Le festival du Cinéma Brésilien de Paris, organisé par l'association Jangada.
En avant-goût, quelques films événements à l’affiche : Antônia de Tata Amaral, O ano em que meus pais sairam de férias de Cao Hamburger, Zuzu Angel de Sérgio Rezende, Fabricando Tom Zé de Decio Matos Jr… et bien d’autres surprises !!

A retenir, les deux lieux du festival :

Cinéma L’Arlequin :
films de fiction, en compétition et hors compétition du 25 avril au 1er mai
76 rue de Rennes
75 006 Paris

Cinéma Le Latina :
le meilleur du documentaire brésilien
du 2 au 8 mai
20 rue du Temple
75 004 Paris

Renseignements : 01 55 26 98 50
Contact presse : binta@jangada.org

dimanche 1 avril 2007

Samba de bençao

SAMBA DE BENCAO


Seul billet vraiment personnel, il était important pour moi d'introduire d'une quelconque manière ma fascination pour la culture brésilienne. J'ai donc tenu à présenter cette vidéo de Pierre Barouh et Baden Powell interprétant "Samba Saravah", version française de "Samba de Bençao" du poète et musicien Vinicius de Moraes, qui rend hommage aux principales figures de la chanson populaire brésilienne.


Pierre Barouh, c'est l'interprète de la bande originale d'"Un homme et une femme" de Lelouch, mais c'est surtout le créateur du label Saravah*, et un inconditionnel du Brésil, ami des plus grands comme Vinicius, Chico Buarque, Pixinguinha et surtout Baden Powell.


La fameuse phrase de Vinicius de Moraes : A vida e arte de encontro, la vie c’est l’art des rencontres" s'applique parfaitement à la vie de Pierre Barouh, qui rencontra Vinicius et Baden à Paris, après un voyage à Rio de Janeiro d'où il rentrait bredouille. De ces amitiés, des chansons et des interprétations inoubliables virent le jour...


"Samba Saravah" raconte l'origine de la samba, détaille ce qui caractérise ce rythme, cite les plus grands noms. L'amitié quasi fraternelle qui unissait Pierre Barouh au grand guitariste Baden Powell transparaît dans cet extrait. Il s'agit pour moi de la plus belle et douce des chansons, et je suis ravie d'avoir pu retrouver la vidéo de cette interprétation que j'avais en enregistrement sonore uniquement.
*: En brésilien, Sarava est une forme de bénédiction pour remercier les morts et les vivants confondus. Dans son orthographe originelle Sarava ne prend pas de h, c'est Barouh qui a rajouté en clin d’œil la dernière consonne de son propre nom.
VG
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